On a longtemps pensé que le Time, qui désigne "la personnalité de l'année" allait choisir Steve Jobs pour cette année 2011.
Finalement ce n'est pas iPapy qui succèdera à Mark Zuckerberg mais "Le Manifestant",en hommage à tous les contestataires qui ont envahi les rues, « du printemps arabe à Athènes, d'Occupy Wall Street à Moscou ».
Le directeur de la rédaction du Time, Rick Stengel, explique que ces manifestants « ont déjà changé l'histoire et ils changeront l'histoire à l'avenir », « Partout les gens ont dit qu'ils en avaient assez. Ils ont contesté, ils ont exigé. Ils n'ont pas désespéré, même quand les réponses sont arrivées sous forme de gaz lacrymogènes ou de balles ».
Il ajoute que « Personne n'aurait pu savoir que lorsqu'un vendeur de fruits tunisien s'est immolé sur une place, cela générerait des manifestations qui ont fait tomber des dictateurs en Tunisie, en Égypte et en Libye, et ont secoué les régimes en Syrie, au Yémen ou à Bahreïn. »
Steve Jobs a fait à de nombreuses reprises la couverture du Time sans jamais réussir à se hisser à "la couverture de l'année", mais le choix de 2011 semble plus que légitime !
Finalement ce n'est pas iPapy qui succèdera à Mark Zuckerberg mais "Le Manifestant",en hommage à tous les contestataires qui ont envahi les rues, « du printemps arabe à Athènes, d'Occupy Wall Street à Moscou ».
Le directeur de la rédaction du Time, Rick Stengel, explique que ces manifestants « ont déjà changé l'histoire et ils changeront l'histoire à l'avenir », « Partout les gens ont dit qu'ils en avaient assez. Ils ont contesté, ils ont exigé. Ils n'ont pas désespéré, même quand les réponses sont arrivées sous forme de gaz lacrymogènes ou de balles ».
Il ajoute que « Personne n'aurait pu savoir que lorsqu'un vendeur de fruits tunisien s'est immolé sur une place, cela générerait des manifestations qui ont fait tomber des dictateurs en Tunisie, en Égypte et en Libye, et ont secoué les régimes en Syrie, au Yémen ou à Bahreïn. »
Steve Jobs a fait à de nombreuses reprises la couverture du Time sans jamais réussir à se hisser à "la couverture de l'année", mais le choix de 2011 semble plus que légitime !