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L‘emblématique patron de Apple quitte son poste de directeur général, a annoncé mercredi en début de soirée la célèbre marque à la pomme. C’est Tim Cook qui le remplacera au titre de directeur général. "J'ai toujours dit que si jamais je venais à ne plus être en mesure d'assumer mes fonctions et obligations en tant que directeur général d'Apple, je serais le premier à vous le faire savoir. Malheureusement, ce jour est arrivé", écrit-il dans sa lettre de démission.
Steve Jobs devra-t-il désormais se trouver un emploi ? Non, puisqu’Il a été désigné président du conseil de l’entreprise qu’il a cofondée dans le garage de ses parents. L’Américain de 56 ans ne quitte donc pas définitivement l’entreprise, mais il n’est pas faux de croire que Jobs prépare le terrain à son départ d’Apple, surtout qu’il a été aux prises avec de nombreux problèmes de santé dans les dernières années et dans les derniers mois.
Tel que suggéré par Steve Jobs, le conseil d’Apple a désigné Tim Cook comme son remplaçant. Pendant longtemps le numéro 2 d’Apple, on ne doute pas que l’homme qui travaille chez Apple depuis près de 14 ans saura chausser les bottines du grand manitou d’Apple. Discret mais efficace, c’est lui qui avait remplacé Jobs pendant 6 mois lorsque ce dernier a dû s’absenter pour subir une greffe de foie.
On connaît tous les récents combats qu’ils a eu face à la maladie : il a notamment souffert d'un cancer du pancréas en 2009. Dans ses présentations cultes devant les fans d’Apple où il présentait les nouveaux produits, sa santé paraissant de plus en plus fragile. Il n'a toutefois pas explicitement indiqué dans sa lettre adressée au conseil d'administration de l'entreprise et ses clients si sa santé était défaillante.
Moment historique pour Apple et son cofondateur Steve Jobs, qui a presque à lui seul changé la façon dont les gens autour du monde communiquent et consomment la musique, la télévision, le cinéma, les livres et l'Internet. Chant du cygne pour Steve Jobs? Peut-être, à moins qu’il nous lance sa célèbre phrase: “But wait, there is more…”
Steve Jobs devra-t-il désormais se trouver un emploi ? Non, puisqu’Il a été désigné président du conseil de l’entreprise qu’il a cofondée dans le garage de ses parents. L’Américain de 56 ans ne quitte donc pas définitivement l’entreprise, mais il n’est pas faux de croire que Jobs prépare le terrain à son départ d’Apple, surtout qu’il a été aux prises avec de nombreux problèmes de santé dans les dernières années et dans les derniers mois.
Tel que suggéré par Steve Jobs, le conseil d’Apple a désigné Tim Cook comme son remplaçant. Pendant longtemps le numéro 2 d’Apple, on ne doute pas que l’homme qui travaille chez Apple depuis près de 14 ans saura chausser les bottines du grand manitou d’Apple. Discret mais efficace, c’est lui qui avait remplacé Jobs pendant 6 mois lorsque ce dernier a dû s’absenter pour subir une greffe de foie.
On connaît tous les récents combats qu’ils a eu face à la maladie : il a notamment souffert d'un cancer du pancréas en 2009. Dans ses présentations cultes devant les fans d’Apple où il présentait les nouveaux produits, sa santé paraissant de plus en plus fragile. Il n'a toutefois pas explicitement indiqué dans sa lettre adressée au conseil d'administration de l'entreprise et ses clients si sa santé était défaillante.
Moment historique pour Apple et son cofondateur Steve Jobs, qui a presque à lui seul changé la façon dont les gens autour du monde communiquent et consomment la musique, la télévision, le cinéma, les livres et l'Internet. Chant du cygne pour Steve Jobs? Peut-être, à moins qu’il nous lance sa célèbre phrase: “But wait, there is more…”
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